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Hampi

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Dernière étape dans le Karnataka et même dans toute l’Inde du Sud, Hampi car c’est notre dernière destination avant le départ.

Pour pouvoir profiter un maximum de l’ambiance de ce petit village, nous y sommes resté 4/5 jours.

Hampi est un petit village un peu perdu entouré de rochers de couleur ocre, de palmiers, de bananerais et traversé par une rivière.

Malgré que se soit un petit village, Hampi regorge de lieux à visiter.

Le temple de Virupaksha en plein milieu du village.

Comme un temple ne vient jamais sans son éléphant voici l’éléphant d’Hampie; ici, en train de jouer dans la rivière.

Hampi est connu pour sa multitude de temples : apparemment plus de 400. Tous ne sont pas de grands et beaux temples comme on se les imagine. On peut trouver des tous petits temples qui ressemblent à des dolmens (enfin dans l’idée ^^) un peu partout perdu dans l’immensité de rochers aussi bien que des temples beaucoup plus grands et imposants.

Nous avons visité Hampi et ses environs par le moyen de transport le plus adapté : le vélo.

Enfin, à Hampi, nous avons eu la chance de côtoyer un grand nombre d’animaux (dont certains moins sympathiques que d’autres ^^) !!

Mysore

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Nous voilà maintenant dans le Karnataka, état dont la capitale est Bangalore. Cet état se situe à l’ouest du Tamil Nadu (Chennai).

Nous avons fait un petit séjour de 4 jours à Mysore au sud de Bangalore. Dans cette ville, que nous avons parcourue à pied, il faut en retenir deux lieux.

Le palais du Maharaja

Ce palais est un des plus majestueux du pays (enfin ça on n’a pas eu la chance de le vérifier ^^).  Il était autrefois en bois mais le feu l’ayant dévasté il fut reconstruit et achevé au début du 20ème siècle.

La visite du palais vaut le détour !! On y croise de sublimes peintures, statues et des pièces de réceptions immenses. Malheureusement, les photos sont interdites à l’intérieur du palais.

Le devaraja market

L’autre lieu incontournable de Mysore est le marché.

Ce marché est un marché couvert (enfin à l’indienne donc avec des bâches et cie) où l’on trouve tout et n’importe quoi : épices, fleurs, fruits et légumes, bijoux, piles colorées de kumkum (poudre colorée utilisée pour les bindi), encens,…

Dubare (se dit Doubaré)

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A 80km de Mysore ce trouve le parc national de Bandipur. Dans cette réserve, il est possible de monter à dos d’éléphant. En Inde, dans certain Etat, il est interdit de monter à dos d’éléphant. Heureusement pour nous, la réserve de Dubare, se trouvant dans le Karnataka, autorise de monter à dos d’éléphant.

Dans la réserve de Dubare, les éléphants travaillent dans la forêt à transporter du bois.

Dans leur journée, les éléphants ont le droit à un petit bain qui se fait le matin. C’est à ce moment là que les touristes (peu d’indiens) ont le droit d’aller laver les éléphants. Nous n’allions bien évidemment pas rater ça !!

Nous avons aussi eu la chance de voir un gentil éléphanteau s’amuser dans l’eau !!!

Après avoir lavé et nourri tout le monde, il est maintenant temps de monter dessus !! Oui oui on a fait une balade à dos d’éléphants :).

Cochin (ou Kochi pour les indiens)

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Notre périple nous a emmenés à Kochi ou Cochin selon que vous utiliser le nom indien ou anglais. Kochi se trouve sur la côté ouest de l’Inde dans l’état du Kerala.

Les backwaters

Les backwaters, qu’est ce que ça peut bien être ?!

Ce sont des canaux qui suivent le littoral et sinuent à l’intérieur des terres. Ce réseau s’étend sur 900km de Kochin jusqu’au sud du Kerala à Alleppey.

Pour cette première balade, nous voilà embarqué dans un bateau à moteur appelé un kettuvallam avec un groupe de touristes afin de parcourir ces immensités aquatiques. Nous naviguons sur des grands lacs qui se joignent. On pourrait se croire facilement en mer, enfin en mer très calme et en faisons du cabotage !!

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Nous en prenons pleins les yeux : palmiers se jetant dans le lacs, bateaux de pécheurs qui patientent au soleil,  indiens se déplaçant en bateaux d’îles en îles, …

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Nous accostons sur une des îles afin de découvrir la vie locale. On découvre ainsi comment monter sur un cocotier et comment obtenir l’alcool provenant de la fleur de la noix de coco.

Puis, nous changeons de taille d’embarcation et nous retrouvons dans des petits canoës manœuvrés à la perche par un indien. On pourrait presque se croire à Venise sur une gondole. Il faut juste remplacer les bâtiments par des palmiers ^^

Les plus petits canaux et l’embarcation permet de rendre la balade encore plus agréable. On profite ainsi de l’ambiance calme et posée qui règne dans cet endroit. Nous nous arrêtons afin de voir tisser de la ficelle de coco. A partir des fibres de la noix de coco, les indiennes fabriquent de la ficelle qui leur sert par exemple comme lien pour monter sur les cocotiers.

Carrelets chinois

Après notre voyage hors du temps dans les backwaters, nous revoilà à Kochi. Nous empruntons le ferry qui relie les différentes îles de Kochi afin de nous rendre à Fort Kochi.

Là, nous avons le privilège d’assister au coucher du sol, au bord de la mer et à côté des fameux filets de pêche chinois.

Les carrelets chinois sont l’emblème officiel des backwaters. Ces gigantesques filets de pêche ressemblent à des toiles d’araignée.

Thanjavur

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Thanjavur, anciennement Tanjore est réputé pour son temple et fort de Brihadishwara

Nous apprécierons tellement ce temple que nous y passerons l’après midi entière

La muraille d’enceinte est cernée de petits Nandis (des Taureaux)

Ici un Nandis beaucoup plus imposant, le nandi symbolise la monture de Shiva

Sur la route, un indien transportant quelques bananes

Le palais royal de Thanjavur et sa cour du château de Cholas

Trichy

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Trichy ou Tiruchirappalli est une ville du sud du Tamil Nadu et la première destination de notre voyage de deux semaine, pour des raisons de distances par rapport à Chennai, nous empruntons pour la 1ere fois le train de nuit. Une expérience pour chacun de nous avec pour certains une nuit blanche et pour d’autres un sommeil partiel avec les souris et les cafards (si si !)

De toute façon le sourire est là !

Visite du temple Sri Ranganathaswami, à l’exterieur de la ville, le plus grand temple d’inde (et surement le plus long à écrire) avec ses 7 pyramides, ses 5 remparts et sa coupole d’or, nous y passons une bonne partie de la matinée, un éléphant se promène dans le temple, normal !

Au centre-ville nous visitons Lourde, une église gothique aux influences françaises, très apprécié pour sa fraicheur.

Enfin, nous ne pouvions pas visiter Trichy sans passer par le Rock Fort Temple, un temple à même la montagne, celle-ci située en plein cœur de Trichy. L’escalier  aux 437 « marches » nous permet d’accéder à un superbe coucher de soleil sur la ville qui grouille, les champs de cocotier et les rizières

Saveurs indiennes

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Cet article est complètement subjectif puisque dans le groupe nous n’avons pas du tout tous apprécié la gastronomie indienne de la même façon. En effet il semblerait que nos palais doivent supporter un minimum les épices pour pouvoir apprécier la nourriture de nos confrères indiens !

Pour ma part je me suis régalée pendant ces 5 semaines et j’ai trouvé qu’il y avait une grande diversité de plats. Je vais donc tenter d’en présenter quelques uns (les photos proviennent d’internet, puisque l’envie de se jeter sur le plat nous a fait complètement oublier de prendre des photos!)

On notera qu’en Inde on mange bien sur avec les doigts, et surtout avec la main droite, en s’en mettant même jusqu’au poignet: plus c’est malaxé, meilleur c’est !

  • Le dosa

On le trouve dans tous les restaurants, pas cher du tout. Il s’agit d’une grande crêpe salée, un peu croquante qui est toujours accompagné de deux sauces épicée: la sambar, sauce orangée avec des légumes, bien épicées, et d’un chutney de noix de coco également épicé.

Il y a plusieurs variantes de dosa: onion dosa, rava dosa… Mon préféré: le masala dosa; la crêpe est servie accompagnée d’une purée de pommes de terres oignions aux épices. Miam !

Le dosa avec sambar et chutney

  • Le thali

Il est souvent servi le midi dans les restaurants-cantines, souvent appelé meal. C’est du riz blanc  avec plein de petit accompagnements: betteraves, pois chiches, pommes de terres, sauces diverses, mangue confites. Bref on ne trouve jamais deux thalis pareils et ça nourrit son homme ! En plus de ça on nous ressert généralement sans problème.*

Un très beau thali

  • Le puri
C’est une sorte de beignet frit, de crêpe gonflée. Comme le dosa il est aussi souvent accompagnée de pommes de terres et de sauces.
  • Le biryani

C’est du riz préparé avec des épices. On en trouve jamais deux pareils: végétariens, au poulet, à l’oeuf, aux crevettes. Des fois ils sont rouges, des fois jaunes… Ce qui est bien c’est qu’on ne sait jamais à quoi s’attendre !

un petit biryani à l'oeuf

  • Les plats en sauce
Il y a une variété énormes de currys ou autres plats en sauce comme le mutter paner, paner tikka masala, cheese butter masala, chamidumalou (plat préféré de Pierre parce que ça le fait marre quand il le commande)…Bref je pourrai inventer les noms, ça ne se verrait même pas. En tout cas on trouve des plats à tout., même s’il y a quand même certains classiques et des sauces qui se retrouvent.. Bref celui qui dira que la nourriture indienne n’est pas variée peut ravaler son camembert et sa baguette !

Paneer Butter Masala
 Tous ses plats se mangent généralement accompagnés de riz ou de pains appelé souvent roti, comme les naan (nature, au fromage, à l’ail), les chapatis, les parathas…
  • Les momos
C’est pas indien mait tibétain. Bah alors qu’est-ce que ça fait là me direz-vous !3 Et bien c’est un plat que j’ai beaucoup apprécie et que l’ont trouve souvent dans les restaurants dans les lieux touristiques. Il s’agit de raviolis aux légumes ou a la viande, avec ou sans fromage, parfois au tofu. En fait ce que j’aime surtout c’est quand mon plat n’arrive pas et qu’on me dit « wait, Momo is coming ».
  • Le chai ou masala thé

C’est la boisson typique indienne: c’est un thé noir au lait et aux épices (cannelle, gingembre, cardamone, poivre, clous de girofle) et généralement bien sucré. On peut vite plus s’en passer !

Alors envie d’un petit masala dosa ?

Laurianne

Quelques vidéos prises à Lady Andal

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Afin que vous puissiez vous rendre compte de l’ambiance de l’école, de la vie en classe, des cours,… voici quelques vidéos.

Le rituel du matin : prières, exposés, anniversaires, …

Les hymnes:

– de l’école:

– national:

En classe:

– un cours d’hindi en classe I (CP) : la maitresse écrit en prononçant en même temps les « phonèmes » puis les élèves répètent après elle. Suite à ce travail, ils auront une évaluation où ils devront compléter cette liste de phonèmes (« texte à trous ») :

– en sport. Les cours ne sont pas mixtes, l’apprentissage se fait comme en classe : par la reproduction d’un modèle et énormément de répétition ! Une discipline quasi militaire pour tous:

Le spectacle des maternelles: « sur le pont d’Avignon« !! Admirez les superbes costumes et l’enthousiasme des enfants!

Notre participation à la vie de la classe : « une souris verte » :

Stage à l’école Lady Andal (Amélie et Claire)

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Parmi les trois écoles du cœur de Chennai proposées, nous avons été affectées dans celle réservée à une classe plus aisée de la population. Elle est située dans un quartier résidentiel composé de très belles et très grandes propriétés. Les moyens dont dispose l’école sont effectivement plus importants que ceux des autres après un aperçu des photos des locaux.

Les locaux

Un grand bâtiment autour d’une cour pavée ; un ascenseur ; des salles de biologie, physique et chimie spéciales ; une grande bibliothèque ; 2 salles informatiques ; une piscine et un tout nouvel auditorium ! L’école a également des TBI dans une grande majorité des classes mais ils ne sont pas utilisés (du moins dans les cours que nous avons vus).

Généralités 

L’école accueille les enfants de la maternelle (Kindergarden) à la terminale (classe XII) avec 3 classes par niveau. Les élèves sont environ 25-30 par classe. Les niveaux scolaires sont répartis par étage, les primaires sont au rez-de-chaussée et 1er étage, les lycéens au 2nd et les collégiens au 3ème et 4ème.

Les horaires de notre école étaient assez particuliers : pas de grasses matinées possibles, il fallait être à l’école dès 7h30 ! Mais l’avantage c’était que l’école finit à 13h50 pour les primaires. Comme pour les autres écoles, la langue d’enseignement est l’anglais. Les pauses sont aussi ici très brèves : 10 minutes en milieu de matinée et 30 minutes pour manger.

Lors des premiers jours, nous avons été prises en charge par les deux enseignants de français qui sont chargés de l’enseignement du français au collège et lycée. Nous avons ensuite demandé à être plutôt dans les classes de primaire. La responsable des plannings nous affectait chaque jour dans une nouvelle classe pour qu’on puisse voir tous les niveaux (classe I à V). Au final, on a surtout été dans la classe IV-B (CM1).

Cette école accueille aussi des élèves handicapés (moteur et psychologique). Il y en a 1 à 2 par classe, ils sont à chaque fois accompagnée d’une dame qu’on pourrait assimiler à une AVS sauf qu’elles sont là essentiellement pour les surveiller, elles les aident parfois. Ils ne viennent pas en cours toute la journée car certains vont aussi une partie du temps dans des établissements spécialisés.

Déroulement d’une journée type

La quantité de cours est quasiment la même qu’en France mais ils sont beaucoup plus condensés dans la journée et les pauses sont quasi inexistante et pourtant les élèves débordent d’énergie du début à la fin. De vraies piles électriques, ils ne semblent même pas avoir de coup de barre en fin de matinée ni après le repas ! Il y a un secret a percé car en France les élèves sont fatigués le matin, avant midi et après le repas, peut-être que d’avoir trop de pauses n’est pas aussi bien pour eux que cela puisse paraitre … !

Déroulement d’un cours

C’est le même principe que dans les autres écoles donc pour ne pas répéter ce qu’on expliquait Laurianne et Pierre, on vous laisse aller lire leur article sur leur école.

Particularités de notre école

– le rituel du matin est très court : les élèves arrivent pour 7h30, ils s’asseyaient en tailleur en colonne selon leur classe et sexe, 2 élèves viennent dire la prière (dans cette école ça ne dure pas plus de 2min) et à 7h45 la directrice prend la parole et dit bonjour à tout le monde. S’il y a des anniversaires, les élèves viennent devant le reste de l’école qui leur chante « joyeux anniversaire ». La directrice appelle ensuite les classes par niveau pour leur demander de regagner leur salle de cours. Les cours débutent à 8h. Certains mardis, il y a en plus un exposé préparé par toute une classe qui dure une dizaine de minutes. Suite aux exposés, les élèves chantent l’hymne de l’école et l’hymne national.

– les « fêtes » de l’école (journée des grands parents, repas par les 6ème …) sont nombreuses.

– dans toutes les classes, les projets sont affichés aux murs.

– les élèves sont très capricieux, ils sont près à supplier leur maitresse pour ne pas se faire punir alors qu’ils sont pris en flagrant délit de bêtise. Le summum a été atteint pendant un cours de piscine avec le groupe des filles de CM1. Après s’être fait rappeler plusieurs fois à l’ordre par la professeure sans effet, elle les a toutes fait sortir de l’eau en disant que le cours était fini, qu’elles pouvaient se rhabiller et elle est partie dans les vestiaires pendant presque 10min (on ne savait pas nous où elle était passée…). Pendant ce temps, les élèves étaient debout au bord de l’eau à la supplier de revenir (nous étions alors les seules adultes au bord de la piscine… impensable en France !), seules 3 élèves pouvaient continuer à nager car elles étaient dans le groupe des élèves en difficultés et n’avaient pas désobéi. L’enseignante est enfin revenue mais elle s’est uniquement des trois élèves en difficultés. Les autres continuaient toujours de demander pardon et lui demandaient de revenir s’occuper d’elles aussi. Le professeur de sport du groupe des garçons est arrivé, a demandé ce qu’il se passait et a puni les filles en les obligeant à faire 3 fois le tour de la piscine en courant. Après ça, l’enseignante a fini par céder et les a autorisés à reprendre leur cour. Encore une fois, les élèves ont obtenu gain de cause et ce n’est pas le seul exemple qu’on pourrait citer.

Notre participation en classe

On a surtout fait de l’observation car en changeant d’enseignants à chaque cours et de classe chaque jour il n’était pas possible de mettre en place un projet suivi. On pouvait prendre la classe en charge pendant 40min lorsque le professeur voulait faire autre chose (corriger des cahiers, ranger sa classe …) ou que le professeur était absent.

Lors de ma 1ère intervention (Amélie), les élèves ont voulu que je leur chante notre hymne national !! Ils se sont ensuite tous levés pour chanter le leur alors qu’aucun enseignant ne le leur a demandé. Ils voulaient après que je leur récite un poème … heureusement que j’avais fait poésie pendant le stage en responsabilité, j’ai pu en réciter un !

Pour nos autres interventions en CM1 principalement, les élèves nous demandaient de leur apprendre des mots en français, on devait les noter à leur demande au tableau pour qu’ils puissent les recopier dans leur cahier, là aussi sans aucune intervention de leur professeur. Mais en Inde, tout fonctionne comme ça, le prof parle et les élèves répètent et recopient … On leur a ensuite proposé un chant en français, on a choisi « une souris verte » car c’est une comptine simple, courte et facile à expliquer et traduire en anglais. Comme pour le vocabulaire, on devait écrire toute la chanson pour qu’ils puissent la noter. On la leur a apprise phrase par phrase en traduisant à chaque fois (ils notaient aussi la traduction !). Au final, on a pu les filmer en train de la chanter tous seuls. Ils ont également fait une affiche dans leur classe avec les paroles de la chanson et des illustrations pour raconter l’histoire.

Notre participation à la vie de l’école s’est faite aussi au travers d’un spectacle organisé pour la fête des grands-parents (fête que dans cette école). Les élèves de maternelle et les CP chantaient et dansaient dans leur magnifique amphithéâtre. Il y avait des chants en anglais, en hindi, en tamoul et un en français : « sur le pont d’Avignon ». Nous avons donc du pendant les répétitions et le spectacle, accompagné le professeur de français pour chanter avec les élèves.